|
|
|
"Sauver la planète n'est pas qu'un rêve d'enfant" |
|
|
Notre planète change... D'ici 2050, elle sera peuplée par plus de 9 milliards d'êtres humains, habitant majoritairement en ville. Les activités humaines et les modes de vie modernes ont déjà des effets sur les milieux et les équilibres écologiques. La température s'élève, les ressources naturelles se raréfient, la biodiversité est affectée... Comment assurer la sécurité alimentaire mondiale et fournir une alimentation adaptée aux besoins de chacun ? Comment mieux tirer parti des plantes pour notre alimentation, notre énergie et nos autres besoins, avec moins d'impacts sur l'environnement ? Comment mieux protéger nos sols, s'adapter aux changements du climat ? Les santés humaine, animale et environnementale sont liées, comment mieux les assurer ? Comment favoriser l'innovation et sa diffusion auprès des acteurs ? Toutes ces questions mobilisent l'Inra, avec pour enjeu de progresser dans les connaissances et de proposer des solutions qui permettent de les résoudre de concert. C'est pourquoi nous recrutons cette année des chercheur(e)s en écologie, génétique, biochimie, économie et dans une vingtaine d'autres disciplines. Ils(Elles) viendront renforcer nos équipes déjà engagées sur ces thématiques. Leurs recherches devront s'articuler au projet collectif et aux travaux multidisciplinaires que conduit l'Inra.
Les inscriptions sont ouvertes du 31 janvier au 4 mars. > Plus d'information, postuler
|
|
 |
L'actualité des offres et opportunités d'intégrer les équipes de l'Inra. |
 |
|
Rejoindre l’Inra, c’est avoir la liberté d’exprimer son talent au sein d’un collectif inventif, audacieux et ouvert sur le monde. En 2019, l’Inra propose à 37 chargé(e)s de recherche, de toute nationalité, de venir renforcer les équipes en place, sur des postes permanents. Les inscriptions étaient ouvertes du 31 janvier au 4 mars 2019, vous ne pouvez désormais plus vous inscrire.
|
|
|
Chercheur(e)s et des ingénieur(e)s de recherche débutants et confirmés en situation de handicap : les candidatures étaient ouvertes du 15 janvier au 28 février 2019. Ingénieur(e)s et technicien(ne)s en situation de handicap : 11 postes sont actuellement proposés
|
|
Contenu multimédia |
Travailler à l’Inra, c’est s’engager aux côtés de 10 000 collaborateurs pour contribuer aux recherches sur l’alimentation, l’agriculture et l’environnement. Du CAP à Bac+8, les recrutements sont ouverts dans des domaines professionnels très variés allant de la recherche à la gestion et au fonctionnement de l’institut et de ses installations. Les profils d'emploi sont répartis dans toutes les régions de France. Les inscriptions étaient ouvertes du 19 février au 21 mars 2019. Vous ne pouvez désormais plus vous inscrire.
|
|
À travers un panel de plus de 50 disciplines scientifiques et de plus de 70 métiers, l'Inra propose des missions dans des domaines variés pour répondre aux grands enjeux du XXIe siècle : assurer une alimentation saine et de qualité, une agriculture compétitive et durable ainsi qu'un environnement préservé et valorisé. |
 |
|
La 13e cérémonie des "Lauriers de l'Inra" s'est déroulée à Paris, dans l'écrin du Théâtre Édouard VII, en présence de Didier Guillaume, Ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation, et de Frédérique Vidal, Ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation. Avec Philippe Mauguin, président directeur général de l'Inra, ils ont ouvert la cérémonie. Ils ont ensuite remis, avec Axel Kahn Président du Comité d’éthique Inra-Cirad-Ifremer, et avec Christine Cherbut et Fabrice Marty, directeurs généraux délégués de l'Inra, un trophée aux six lauréats ainsi qu'à une équipe. Ces lauriers récompensent leur engagement et leurs résultats dans différents domaines de la recherche agronomique.
|
|
 |
|
Quand il parle de son parcours au cœur de l’évolution écologique des écosystèmes aquatiques, Scott McCairns, chercheur à l’Inra Bretagne-Normandie, affirme être chanceux et avoir souvent bénéficié d’un « bon timing ». Derrière son enthousiasme communicatif, sa recette du succès est pourtant vite dévoilée : un esprit scientifique ouvert pour toujours élargir son champ de recherche.
|
|
|
Alimentation, perception du corps et normes
|
|
|
Chargé de recherche à l’Institut Micalis (1) du centre Inra de Jouy-en-Josas, départements Alimentation humaine et Microbiologie et chaîne alimentaire, Olivier Berteau s’intéresse aux bactéries qui peuplent le tube digestif, un champ de recherche émergent mais qui fait déjà l’objet d’une âpre concurrence internationale. Il reçoit en 2013 une bourse du Conseil européen de la recherche pour un projet, à l'interface entre la chimie et la biologie, visant à étudier une famille de nouvelles enzymes catalysant des réactions chimiquement difficiles mais essentielles pour le Vivant.
|
|
|
Caroline Baroukh est une jeune chercheuse du département SPE recrutée récemment à l’Inra au sein du Laboratoire des Interactions Plantes Microorganismes (LIPM) à Toulouse. Elle travaille sur la modélisation mathématique du comportement alimentaire d’un pathogène de plante, la bactérie du sol Ralstonia solanacearum.
|
|
Afin d'entretenir la dynamique d'excellence scientifique et poursuivre sa mission de formation à la recherche par la recherche, l'Inra encourage les échanges et la mobilité internationale des chercheurs vers ou depuis la France. |
 |
|
Philippe Mauguin, PDG de l’Inra s’est rendu à Shanghai et à Pékin, du 25 au 30 septembre 2018, accompagné de Carole Caranta, chef du département « Biologie et amélioration des plantes », Muriel Vayssier, chef du département « Santé animale » et Ségolène Halley des Fontaines, déléguée à l’international. Plusieurs signatures d’accords et de laboratoires internationaux associés ont eu lieu au cours de cette mission, affirmant ainsi les collaborations renforcées de l’Inra et de ses partenaires chinois dans de nombreuses thématiques.
|
|
|
|
|
L’Inra au Salon international de l’agriculture 2019
|
À l’occasion du 56e Salon de l’agriculture, « La vie secrète des plantes et des animaux » est à l’honneur sur le stand de l’Inra. À travers de nombreuses animations, vous seront présentés les modes de communication et les interactions qui existent entre les plantes, les animaux, et les microorganismes. À l'accueil du stand, des interlocuteurs seront présents pour vous renseigner sur les disciplines de recherche et les différents métiers dans lesquels l'Institut recrute.
|
Contenu multimédia |
Zéro phyto : changeons de regard sur nos rosiers
|
Depuis janvier 2019, l’utilisation des produits phytosanitaires est interdite dans les jardins des particuliers. Il devient donc nécessaire de gérer autrement les maladies qui touchent nos espaces verts. Des chercheurs de l’Inra à Angers travaillent notamment sur les rosiers, qui ornent de nombreux jardins en France, pour anticiper leurs maladies et connaître les bons gestes afin de les préserver. Découvrez notre reportage vidéo.
|
|
Bien-être des animaux d’élevage
|
Ce 2e numéro de la série « Science et élus » fait le point sur l’engagement de l’Inra pour concilier sensibilité des animaux, travail de l’éleveur et regard de la société.
|
Contenu multimédia |
Les sciences et recherches participatives à l’Inra
|
Collecter des données dans la nature pour la recherche, participer au diagnostic et au suivi de maladies, participer à l’élaboration de questions de recherche… Les sciences participatives impliquant les citoyens dans les recherches ont une longue histoire à l’Inra, avec des enjeux très actuels. Nous vous invitons à découvrir l’évolution de ce mouvement au sein de notre institut à travers un film d’animation produit en partenariat avec le magazine Pour la Science et un cahier spécial dans le numéro d’octobre du mensuel.
|
 |
|
3 questions à… Tiphaine Bordier, de Matatie
|
Œufs, gluten, lait… ce sont les allergènes majeurs que la startup Matatie chasse de ses gâteaux pour les enfants souffrant d’allergies alimentaires. Moelleux individuels à la vanille, au chocolat ou à la framboise, brownies… tous sont fabriqués dans un atelier sans allergènes, et donc sans contamination possible : pas de risque de trouver les fameuses « traces de… ». Rencontre avec Tiphaine Bordier, la dynamique créatrice de Matatie.
|
 |
|
Le génome des truffes révèle le secret de la fabrication de leurs parfums
|
Un consortium international coordonné par l’Inra, et impliquant notamment le Joint Genome Institute (JGI), le CEA-Génoscope, l’Université de Turin, l’Université de Lorraine et le CNRS, a séquencé et décrypté le génome de plusieurs truffes réputées dont la truffe blanche d’Alba, la truffe de Bourgogne et la truffe du désert. Cette avancée permet de mieux comprendre la symbiose entre arbres et champignons, dont le rôle écologique est considérable, mais surtout les mécanismes impliqués dans la formation des truffes et la fabrication de leurs fameux parfums. Ces travaux sont publiés le 12 novembre 2018 dans la revue Nature Ecology and Evolution.
|
 |
Contenu multimédia |
Ingénieuse biodiversité des sols
|
Dans un hectare de sol cultivé, un entrelacs de racines abrite 1,5 tonnes de bactéries et 3,5 tonnes de champignons microscopiques. Sans compter les vers de terre, insectes, acariens… et toute une faune qui peut peser de 1 à 5 tonnes ! Cette biodiversité très riche fait la valeur de nos sols, participe à leur fertilité et contribue donc à la qualité de notre alimentation. Élément clé du bon fonctionnement de notre environnement, elle favorise la régulation du climat, le stockage du carbone, la qualité de l’eau… Interviews vidéos.
|
|
|
|
|